Il est 9h, une matinée ensoleillée à Nice. Dans la salle de sport VitaClub, la musique rythme les mouvements, les haltères tintent, et un rire fuse au fond de la pièce. C’est celui d’Alexandre, 27 ans, coach sportif au sourire franc et à la motivation contagieuse. À peine arrivé depuis un an dans l’équipe, il s’est déjà imposé comme l’un des piliers du club.
Ancien footballeur passionné par la musculation et la remise en forme, Alexandre a trouvé dans le coaching une manière de transmettre sa philosophie : le mouvement comme pilier de l’équilibre physique et mental. « Bouger, faire du sport n’est pas une option. Nous en avons besoin pour notre équilibre mental et physique. »
Une vocation née de la pratique
Avant d’enseigner, Alexandre a d’abord cherché à comprendre. Sa curiosité pour les techniques d’entraînement et leur impact sur les performances physiques l’a conduit à se former, puis à vouloir accompagner les autres. « Ce qui m’a motivé à devenir coach, explique-t-il, c’est de comprendre comprendre l’incidence des techniques d’entrainement sur les performances physiques et le bien-être, et surtout d’aider les gens à atteindre une meilleure qualité de vie. »
Chez VitaClub, il s’adapte à chaque profil : du débutant un peu timide au sportif confirmé en quête de progression. « J’aime innover, créer des trainings sur mesure. Chaque personne a son histoire, et c’est à moi de trouver la bonne clé. »
Garder la motivation : un défi du quotidien
Pourquoi est-ce si difficile de rester régulier ? Alexandre ne tourne pas autour du pot : « Les images des réseaux sociaux laissent à penser que les résultats sont rapides or ce n’est pas vrai. C’est une pratique régulière et adaptée qui donne des résultats. Il faut avoir une vision à long terme pour avoir des résultats et les conserver. »
Ses conseils pour garder le cap tiennent en quatre points simples mais essentiels :
- Se fixer un objectif raisonnable, avec des paliers atteignables.
- Mesurer les progrès autrement que par le poids — la forme, la posture, l’énergie comptent tout autant.
- Planifier ses séances, comme des rendez-vous avec soi-même.
- S’entourer, d’un coach ou d’un ami, pour partager la motivation.
Et quand la fatigue s’invite ou que le temps manque ? « Il faut adapter l’intensité et la durée de ses entrainements en fonction de son état de forme. Il faut adapter son entrainement à son âge et son parcours de vie.»
Le mental, moitié du chemin
Selon Alexandre, le mental représente au moins 50 % de la réussite sportive. C’est ce qui fait la différence entre un élan passager et une habitude durable. « Les gens oublient que la motivation ne vient pas toujours avant. Parfois, elle naît après, avec fierté de voir les progrès, les résultats, d’avoir une bien meilleure condition physique, de ne plus être limité physique. » C’est un cercle vertueux : on agit, on progresse, on reprend confiance, et la motivation revient.
Il se souvient d’une adhérente dont le parcours symbolise cette résilience. « Elle avait 35 ans et n’avait jamais fait de sport à cause d’une orthèse métallique maintenant sa colonne droite. Au début, elle doutait d’elle-même. Puis, séance après séance, la confiance en son corps est revenue. Maintenant elle s’entraine régulièrement, se sent plus forte et plus solide. Elle pratique en plus de la salle, la course à pied avec plaisir. Chose inimaginable pour elle avant son inscription au club. » Un exemple parmi d’autres de ce que peut accomplir la persévérance.
L’esprit VitaClub : bienveillance et proximité
Ce qui distingue les clubs de sport VitaClub à Nice, selon Alexandre, c’est l’ambiance familiale et l’accompagnement sur mesure. « Ici, personne n’est jugé. On a des profils très différents, du jeune sportif à la personne qui reprend après des années d’arrêt. Ce qui unit tout le monde, c’est la bienveillance. »
Le club mise sur un suivi gratuit et sur la proximité avec les coachs : « Mon rôle, c’est d’adapter les entraînements et de soutenir chacun dans ses moments de doute. Je dis souvent à mes adhérents : je suis là pour toi, je te soutiens, mais personne ne peut venir à ta place. »
Cette approche crée une atmosphère conviviale où les adhérents se motivent entre eux. On se sent vite comme à la maison. Certains viennent autant pour le sport que pour l’ambiance.
Le message du coach aux Niçois
Avant de retourner à ses entraînements, Alexandre lance un message à ceux qui hésitent encore à franchir le pas : « Choisissez un club où l’ambiance vous rassure et où vous vous sentez à l’aise avec l’accompagnement. Le sport peut littéralement changer votre vie. Il n’est jamais trop tard pour commencer, et votre corps vous dira merci. »
Pour lui, la clé n’est pas la perfection, mais la constance. Même les jours de flemme, il applique à lui-même la règle qu’il enseigne : « Je m’entraîne même sans motivation, parce que je sais que j’en ressortirai toujours mieux. Je ne cède rien à la flemme. »
Rencontrer Alexandre, c’est un peu comme recharger ses batteries. Derrière son sourire tranquille, on devine la rigueur du coach, la passion du sportif et l’empathie de l’accompagnant. Chez VitaClub Nice, la motivation ne se résume pas à une promesse : elle s’incarne, chaque jour, dans des gestes, des sourires et des progrès.
Alors, si vous cherchez une salle de sport à Nice où l’on s’entraîne dans la bonne humeur, entouré de coachs attentifs et passionnés, poussez la porte de VitaClub. Le plus difficile, c’est le premier pas. Le reste, Alexandre s’en charge.